
"Je suis venu en Géorgie trois mois avant le début de la guerre russo-géorgienne. Pendant ce drame, j'étais à Tbilissi et j'ai vécu toute la gamme des sentiments: de l'incrédulité en la possibilité de cette guerre jusqu'à la pur pour mon épouse géorgienne. Ce mois d'août-là, nous sommes devenus parents d'un fils..." Igor Obolensky, dernier "pont" culturel entre les deux pays, se donne pour mission de "tout faire pour favoriser les relations entre la Géorgie et la Russie." Il décide de mettre en lumière les histoires d'amour et d'amitié entre les grandes nations.